Un particulier vivant dans une démocratie européenne est licencié par son entreprise (c'est à dire, à titre individuel, perte de salaire, d'un job intéressant, de status social...) pour avoir écrit à son député, c'est à dire l'élu du peuple dans son quartier, et exprimé son opinion face à un projet de loi.
Et cela est légal et considéré comme quasi-normal.
Incroyable!
En plus de la collusion évidente entre les medias (et surement les grosses entreprises hors médias) et le pouvoir révélée une fois de plus.
En plus du coté liberticide absolu de l'événement.
Cela met clairement en évidence, le besoin d'un débat majeur et ensuite de légifération sur le statut du salarié. Les personnes salariés ne peuvent etre traitées comme des esclaves lors de leurs heures de travail (et parfois en dehors visiblement). Et plus, encore les salariés ne doivent pas se considérer eux même comme tels: Corveable à merci. En servage. Nous ne sommes pas sur terre pour cela.
Pouvoir, hiérarchie, nature des relations hiérarchiques, avec en général sa culture de la récompense et de la punition, et donc de la menace directe ou en général  latente, gestion du temps du salarié, de l'opinion ou de la communication de cette opinion. Tout doit être revu.