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Marseille hackée

Marseille hackée

«Hackulturation, culture libre, culture hacker», trois jours de rencontres à Marseille visent à proposer une réflexion sur la culture hacker.

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cybernostra

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Re : Marseille hackée

Des vrais hackers "en chairs et en codes" en demoparty à Marseille du 1er au 4 novembre à l'Espace Julien lors de la demoparty MAIN 2007 et du Data Airlines Festival. Les principaux teams scandinaves se donnent rendez-vous à la Toussaint à Marseille...

Plus de détails sur www.mainparty.net et www.dataairlines.net

Alphabeville participe également à une journée sur les enjeux du papier et de l'encre électronique le 30 octobre à la bibliothèque Alcazar dans le cadre des conférences MAIN...

webmaster_cipm

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Messages : 1

Re : Marseille hackée

bonjour,

effectivement l'activité du centre international de poésie est intense, en plus des rencontres hacker, nous exposerons les oeuvres de Isidore Isou (vernissage ce vendredi à 18 h 30).
Mais malgré cette activité, notre avenir est incertain. c'est pourquoi je me permets de vous informer de cette pétition que vous trouverez en ligne sur divers sites (sitaudis, zazieweb, larevuedesressources, etc.) et sur le notre bien évidemment à cette adresse.
url de ce texte sur le site :
http://www.cipmarseille.com/evenement_fiche.php?id=610
En espérant que vous la diffuserez le plus largement possible.
Je suis à votre disposition pour tout complément d'information.
Par avance, je vous remercie.
Xavier Leton - pour le cipM
http://www.cipmarseille.com/

Les incertitudes du cipM
http://www.cipmarseille.com/

Ce jeudi 25 octobre, 11 h 30, à l’Opéra de Marseille va être présenté le
projet de candidature de Marseille Provence, capitale européenne de la
culture en 2013.

À l’heure où cette présentation va avoir lieu, et après les incertitudes
qui ont pesé ou qui pèsent encore sur le comptoir Toussaint / Victorine
et sur le théâtre de la Minoterie, des incertitudes pèsent aussi depuis
quelque temps sur le cipM (centre international de poésie Marseille).

La convention d’occupation triennale entre le cipM – créé en 1990 à la
demande de la Ville de Marseille – et cette dernière arrive légalement à
terme le 6 mai 2008. La DGAC (Direction Générale des Affaires
Cuturelles) ne souhaite pas renouveler cette convention, aux prétextes
de sécurité et de circulations différenciées pour des publics non muséaux.

Cette situation n’est pas nouvelle puisqu’elle dure depuis plus de trois
ans, mais finit par nous lasser et par nous empêcher de travailler
sereinement.

Pour mémoire, la même demande, quitter la Vieille Charité, nous avait
été faite il y a quelques années, nous avons alors prospecté plusieurs
locaux, et proposé à la DGAC d’occuper sur la Canebière l’ancienne
librairie Flammarion. Après visite et chiffrage, la DGAC nous demande de
trouver avec ses autres partenaires environ 50 % du financement de
l’ensemble des travaux d’aménagements. Le cipM les trouve, la DGAC nous
fait alors part de notre incompréhension, nous signifiant que les 50 %
s’appliquent à l’ensemble de l’opération ! Nous ne nous décourageons pas
et quelques mois plus tard (assez fiers, il faut le dire), nous
annonçons que nous avons trouvé auprès de nos autres partenaires (État,
Région, Département) 950 000 euro. C’est alors que se fait un
assourdissant silence : nous n’aurons jamais de réponse écrite à propos
de ce projet de la part de la DGAC.

À l’heure de la candidature de Marseille Provence, capitale européenne
de la culture en 2013, hors l’injonction de la DGAC de nous faire
quitter la Vieille Charité, nous ne savons pas quelles seraient les
conditions, notamment financières, d’un relogement. Conditions que nous
avons pourtant demandées à plusieurs reprises.

À l’heure de la candidature de Marseille Provence, capitale européenne
de la culture en 2013, hors l’injonction de la DGAC de nous faire
quitter la Vieille Charité aux prétextes de sécurité et de circulations
différenciées pour des publics non muséaux (mais comment donc
différencier un public muséal d’un public non muséal ? Ne vont-ils pas,
publics confondus, visiter un bâtiment, regarder une exposition,
travailler dans une bibliothèque ou un centre de documentation, se
restaurer dans un café, acheter des livres dans une librairie ?), nous
ne savons pas quelles seraient les conditions de sécurité à respecter
afin de pouvoir rester à moindres frais pour la Ville de Marseille sur
ce lieu.

À l’heure de la candidature de Marseille Provence, capitale européenne
de la culture en 2013, nous nous demandons tout simplement si la DGAC a
le désir de soutenir le cipM, de lui laisser la possibilité de continuer
son travail entamé il y a bientôt dix-huit ans.

Travail, action, ténacité, rayonnement que nous avons su donner à ce
lieu, cohérence et originalité de notre démarche, mais aussi
compréhension, écoute et soutien de nos partenaires, des poètes et
écrivains, qui nous ont valu une reconnaissance nationale et internationale.

À l’heure de la candidature de Marseille Provence, capitale européenne
de la culture en 2013, nous ne voudrions pas commencer une nouvelle
année en ne sachant pas dans quel lieu nous pourrons assurer notre
programmation, dans quel lieu se trouveront les quelques 40 000
documents de notre bibliothèque unique en France, dans quel lieu nous
pourrons accueillir nos résidents, dans quel lieu nous pourrons montrer
nos expositions, dans quel lieu nous pourrons organiser nos lectures et
performances, dans quel lieu nous pourrons tout simplement continuer à
faire rayonner la poésie.

Pour nous exprimer votre soutien, veuillez imprimer, signer et nous
renvoyer cette pétition à l'adresse du cipM ci-dessous, ou en ligne en
suivant ce lien :
http://www.confettis.org/phpPETITION/

Centre International Poésie Marseille, n°2 rue de la charité, 13002
Marseille.

JE SOUTIENS LE CIPM

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Louise

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Re : Marseille hackée

Pour Roussel, merci votre article ; il est linké dans le post-scriptum de la publication d'une des interventions, suite à ces journées ; c'est ici :
http://www.larevuedesressources.org/

Une information pour ceux qui pensent qu'il existe des "vrais" et des "faux" hackers.... Ce mot n'appartient pas à l'informatique ni à quiconque, il n'est ni une propriété privée communautariste, et encore moins une marque déposée. Il appartient à tout le monde.

Il remonte au temps de l'enclosure sous Cromwell en Angleterre et ce sont les indiens navajos qui décodaient avec leur langue les messages de l'armée américaine pour déjouer les services secrets japonais pendant la guerre du Pacifique, qui lui ont donné ses références modernes, dont celle connotée par le mouventment des citoyens, dans les laboratoires du MIT, de confier aux plus pointus du code les détails complexes rencontrés pas leurs collègues à l'oeuvre des recherches contribuant au logiciel libre.

Quant à McKenzie Wark, auteur de Un manifeste hacker, chez qui c'est un concept post-philosophique qui désigne entre autres tous ceux qui produisent à partir de l'invention, le hacking devient le fait d'inventer du neuf à partir des métamorphoses structurelles de l'ancien, par la modification de détails qui changent globalement les règles... ce n'est qu'une conception du hacker parmi toutes les autres, mais c'est celle de cet auteur, et elle est incontestable puisque ce livre exprime et manifeste sa propre existence singulière du mot.

Savez-vous, cher vrai hacker, que le concept n'est pas la matière ? Que par le concept de "table" on prédise toutes les tables possibles y compris imaginaires, sans désigner une table particulière (par exemple celle qui serait la vôtre n'étant qu'une table parmi les tables) ? Donc hacker, c'est large... C'était juste pour répondre à un coup de griffe, non par un coup de griffe mais par un grognement de vieux lion tranquille... Et très  sincèrement, cordialement quand même;)

Louise

Louise

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Re : Marseille hackée

À propos de la Scandinavie et des hackers du code venus à Marseille à la Toussaint, je reviens juste pour citer le "Chaos Computer Club" [CCC] qui force le respect... certes.
L.