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Les 3 barres de gauche du graphique tout en bas de l’article me laissent un peu perplexe. Si quelqu’un ne fait « aucune dépense », comment fait-on pour répartir sa non-dépense en 18% illicite et 32% licite ?
Ce qu’exprime Gavras avec beaucoup violence, certes, mais aussi avec une efficacité redoutable, c’est l’idée que le racisme est totalement arbitraire.
Le gentil petit rouquin qui se prend une balle dans la tête en gros plan et l’autre dont une mine éparpille le corps à tous les vent, il est vrai que c’est à la limite du supportable, mais si c’est pour dire que le racisme est à la limite du supportable, après tout…
L’inconvénient pour MIA, c’est que la musique paraît bien fade à côté. On dirait que c’est Gavras qui leur a commandé une musique de fond pour son court-métrage et pas l’inverse.
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