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Si on veut être tout à fait exacte, le rapport Bono n'a jamais prévu de filtrer des sites Internet, de surveiller le trafic des internautes et AU CONTRAIRE s'est même prononcé dès le départ contre toute mesure de filtrage, en rappelant aux Etats membres que "la criminalisation des consommateurs n'est pas la bonne solution" (article 17).
Quant aux amendements de filtrage déposés par le parti populaire européen, ils ont été rendus caduques lors du vote en Commission Culture, suite aux amendements de compromis proposés par le rapporteur Guy Bono et acceptés par la droite européenne, dans un souci d'équilibre et de proportionnalité.
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