SHO(U)T S'ÉCRIT COMME CI-AVANT...
Je ne sais où vous êtes allé chercher ce' W'. Pour le libé imprimé c'est un peu tard. Pour écrans.fr il est encore temps.

évidemment je ne réagirai pas au fait que vous utilisiez le visuel d'une installation dont je suis l'auteur pour illustrer une analyse globale de l'évènement, sans même glisser deux lignes positives ou négatives à propos de l'install elle-même.

pour parler d'autres artistes dont je n'ai pas tjrs été touché par l'esthétique utilisée, mais nettement plus interessé par la problèmatique posée sinon la portée indirecte de leur travail.
Je dirai que le japonais Tetsuaki Baba et son Freqtric Project c'est vraiment bien.(cette complicité dans le jeu ou la composition musicale par le contact physique entre personnes).
On retrouve le même esprit dans 'Se Mi sei Vicino' de Sonia Cillari. Plus orienté centre d'art et cocktail pouf pouf.

Elles offrent une ouverture sociale à des oeuvres interactives et ça faisait du bien au mileu d'une multitude d'expériences d'étudiants en mal de doctorat. Expériences surbugguées et orientés geeks ou objets de geeks.
Je généralise évidemment. Comme danqs l'article.
Pour les objets, suffit d'aller regarder le site 'we make money not art' dont je ne serai pas étonné de voir l'auteure travailler en consultante pour Nike ou Apple, mainteant ou prochainement.

la non matérialité ça a l'air de faire toujours aussi peur. On peut être avatarisé mais pas dématérialisé ou dématérialiste.
ce gros fake de l'engagement des geeks dans la lutte sociale....

À part ça la vie est belle.
Toujours aussi dur de monter la prod d'un projet tel que SHO(U)T en France.
Et encore d'avantage de le montrer. Merci Ars Electronica.

Sans que les journalistes ne fassent pas des fautes sur le titre de votre oeuvre.
hehe.

Merci à tous.

Vincent Elka.