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Oui, enfin pour le moment, l'application n'est pas disponible sur le store français. Donc pas de vidéos flash pour passer le temps dans le métro parisien.
En même temps, pour le moment, Google Buzz sert surtout à faire semblant qu'on est à la page (c'est rigolo, mais il va falloir un peu plus pour que ça dure). Et quand on sera tous partis, la vie privée...
J'avoue que je suis maintenant très impatient de tester l'application iSebastien...
Simplement pour faire avancer une réflexion inétressante.
On aurait pu également de Braid sur le XBLA qui détournait le concept de mort (on ne peut pas réellement mourir) en y ajoutant un concept temporel très poussé, menant justement à la réflexion (en particulier dans la dernière scène du jeu). Puis il est à noter, qu'on ne meurt pas, par essence, dans tous les jeux. De grands classiques en sont la preuve comme Mario Kart (repêché instantanément) ou la série des Super Smash Bros, dans laquelle la mort, souvent présente dans un jeu de combat, est remplacé par une sortie du plateau.
Je trouve que vous êtes bien trop gentils avec Thierry Ardisson, lui aussi nous a agacé au moins autant que certains avec ses "ouais" ses "super banco" et ses vestes noires en permanence, du style je serai toujours jeune et con.
De plus qu'il a encore Salut Les Terriens sur Canal+, en clair.
Je trouve que la rédaction s'en tire à bon compte. Et tous les fans des racines et des ailes de la culture française s'en retrouve fort marris.
Cependant, l'article de fond sur "Silence, ça pousse" redonne tous son sens à nos courtes vies.
Cela fait plusieurs fois que Link's Crossbow training est "à une vingtaine d'euros". Malheureusement, sur la plupart des sites européens, les annonces le placent à 10 euros de plus...
La parité avec le dollar c'est plus ce que c'était !
Voilà une grève qui a du sens et qui ne fait pas que prendre des utilisateurs en otage. Par contre, 30 Rock ne prend pas de "s", et fait justement référence à l'adresse des studios de NBC à New-York.
Contrairement à Olivier Séguret ce n'est pas l'ennui provoqué par une même aventure qui me gênait mais de savoir comment la DS serait mise à l'épreuve par ce jeu.
Aucun Zelda ne m'a jamais ennuyé. Les intrigues ont les même ressorts, les objectifs sont globalement les mêmes, les personnages se retrouvent d'un opus à l'autre, mais c'est toujours le graphisme d'un univers onirique et le gameplay sans faille qui nous font plonger.
Et il est vrai que ce Zelda ne faillit pas à la réputation. Graphiquement, la DS nous impressionne vraiment (il est cependant dommage de ne pas avoir utilisé les deux écrans pour les séquences vidéo). Et le gameplay est tout simplement parfait. Le stylet est le seul outil utilisé pour se déplacer et ce avec une simplicité déconcertante. C'est presque à se demander pourquoi tous les jeux ne sont pas aussi intuitifs. Le micro et autre utilisations ont leur place également (mais n'apportent à mon avis pas grand chose). Un Zelda, c'est toujours facile dans l'ensemble, mais tellement immersif, qu'on se retrouve dans un océan de bonheur.
Personnellement, je trouve que les trouvailles du côté exploration de l'océan rendent l'opus sur DS encore plus palpitant que celui sur Gamecube ou les séances de navigation étaient parfois un peu indigestes.
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