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Pour contrer une rumeur, l'Inde assomme le Net
Accusant des SMS et messages en ligne d'attiser des tensions interethniques, le pays fait pression sur Google, Facebook et Twitter pour obtenir leur suppression.
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Bah, y'a qu'à attendre la prochaine panne de courant et tout sera réglé... Ce genre de pays s'occupe du Net alors que les infrastructures les plus basiques, comme des routes, n'existent même pas. C'est vraiment mettre la Tata avant la vache sacrée...
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Bah, y'a qu'à attendre la prochaine panne de courant et tout sera réglé... Ce genre de pays s'occupe du Net alors que les infrastructures les plus basiques, comme des routes, n'existent même pas. C'est vraiment mettre la Tata avant la vache sacrée...
Vous n'y êtes apparemment pas allé, ou depuis longtemps.
Quant à la censure, elle est évidement stupide car elle sera détournée, d'une manière ou d'une autre. Les chinois sont passés maître en la matière, les indiens ne doivent pas être en reste.
On ne peut, par contre, que s'apitoyer devant ces éternelles violences inter-ethniques. N'est-il pas possible de vivre ensemble, que chacun fasse des efforts ?
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Quant à la censure, elle est évidement stupide
Ca depend où on place le curseur. Parce que quand on se souvient du role de radio mille collines et des consequences tres concretes en terme de massacres de masse, on se dit que la meme chose sur internet à l'echelle d'un etat-continent peut faire TRES mal, on n'est plus dans le "Morano grosse conne" ou trucs du genre là...
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dr_surpriso a écrit :Bah, y'a qu'à attendre la prochaine panne de courant et tout sera réglé... Ce genre de pays s'occupe du Net alors que les infrastructures les plus basiques, comme des routes, n'existent même pas. C'est vraiment mettre la Tata avant la vache sacrée...
Vous n'y êtes apparemment pas allé, ou depuis longtemps.
Ou peut-être n'êtes-vous pas allé plus loin que New Dehli ou Bombay...
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"Les Etats-Unis, qui disent ne jouer aucun rôle dans les enquêtes menées par l’Inde, ont pour leur part défendu la liberté d’expression dans cette affaire. « Nous sommes toujours du côté d’un Internet entièrement libre », a avancé une porte-parole du département d’Etat à Washington, équivalent du ministère des Affaires étrangères."
Il n'y a que moi que ça fait pouffer ?
Un seul Ecrans vous manque, et le Net est dépeuplé.
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