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Revente de mp3 : occasion manquée pour ReDigi
Un tribunal de New York a estimé que la revente de mp3 «usagés» était une infraction au copyright, mais le service américain estime que sa technologie a depuis évolué.
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De la revente de flac et autres formats sympathiques, pourquoi pas. mais du mp3, franchement.
Ne vous privez pas de ces ressources intellectuelles au prétexte qu'elles sont intellectuelles, qu'elles sont écrites avec de grands mots.
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Total foutage de gueule : la multiplication des petits pains pour les revendre. Facile !
Notez bien que je n’ai pas de téléphone portable et que je me fous aussi bien de l’iPhone que du Galaxy ou même de tout Android de merde.
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Total foutage de gueule : la multiplication des petits pains pour les revendre. Facile !
Je ne vois pas trop pourquoi cet argument s'appliquerait à la revente de MP3 et pas à la vente plusieurs années après qu'une chansonnette ait été produite.
Dernière modification par Juju Dredd (05-04-2013 02:57:42)
"Des scientifiques et des savants du monde entier, se sont réunis pendant des mois et des mois pour dresser un constat, c’est le constat qui est accablant, le monde va à sa perte si on continue à émettre du carbone qui crée un trou dans la couche d’ozone et qui brise les équilibres de la planète. Ça c’est un constat."
— Nicolas Sarkozy, le 24 septembre 2009.
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David Croquettes a écrit :Total foutage de gueule : la multiplication des petits pains pour les revendre. Facile !
Je ne vois pas trop pourquoi cet argument s'appliquerait à la revente de MP3 et pas à la vente plusieurs années après qu'une chansonnette ait été produite.
Ne pas confondre l’œuvre et son support. On a comparé, au moment de la discussion de DADVSI la ruine des boulangers, ce qui est stupide car nous sommes dans l’immatériel avec des supports de l’œuvre reproductibles à l’infini sans jamais priver personne de l’original. Cela vaut pour le mp3 d’occasion. On ne commercialise pas des mp3 mais des morceaux de musique et c’est ça qu’on paie, comme une licence d’utilisation. Le fichier numérique est reproductible à l’infini sans jamais en priver celui qui revend, sauf à lui faire bêtement confiance : juré, craché, effacé Il peut revendre à l’infini.
Notez bien que je n’ai pas de téléphone portable et que je me fous aussi bien de l’iPhone que du Galaxy ou même de tout Android de merde.
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Si le droit d'utilisation n'est pas cessible, il serait normal qu'il soit évolutif.
Aujourd'hui j'achète un mp3 (alors que ce format est en voie d'obsolescence en raison de la diminution des coût de stockage, des vitesse de téléchargement, une compression aussi destructrice n'est plus nécessaire), demain j'exige de pouvoir télécharger le Flac gratuitement ou contre une très modeste rétribution.
Très prochainement nos achats de biens culturels seront stocké dans le cloud donc la revente sera impossible. L'évolution des formats et des possibilités technologiques qu'ils offrent (multipistes,dynamiques,videos,3D) ne doit pas être subit par celui qui l'a rendu possible en faisant l'acquisition du produit de la génération précédente sans aucune contrepartie.
Quand j'ai acheté un cd que j'avais déjà en vinyle, j'ai revendu le vinyle, quand j'ai acheté le MP3, j'ai revendu le CD, et maintenant ???
On nous parle d'oeuvre et de support mais à partir de maintenant on va ajouter des fonctionnalités et tous les 5 ans il faudra tout racheter pour pouvoir continuer d'écouter le LedZep dont j'ai acheté le vinyle ?
... et oui ...
Sortez vite les nouveaux lecteurs flac que je passe à la caisse ... J'efface mes mp3 pour faire de la place. Téléchargement légal ... Piège a c** ...
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Si le droit d'utilisation n'est pas cessible, il serait normal qu'il soit évolutif.
En fait c’est l’inverse. C’est bien le droit d’utilisation qui est cédé et non la propriété de l’œuvre. Le problème est celui de la confusion entre l’œuvre et son support. Le vinyle n’est pas la musique et tout devient si je puis dire transparent avec la dématérialisation : un mp3 n’est qu’un agglomérat de bits et on a conscience de ne plus rien posséder. La réalité est que c’est comme ça depuis les lois de 1791-1793 modifiées seulement en 1957. Sauf qu’à l’époque en l’abscence de moyens de reproduction et de diffusion réalistes et performants on ne commercialisait que la partition et ses interprétations en faisant payer le droit de représentation. Mais le principe de base reste le même : l’auteur est propriétaire de son œuvre et il en cède les utilisations.
Dernière modification par David Croquettes (16-04-2013 16:10:16)
Notez bien que je n’ai pas de téléphone portable et que je me fous aussi bien de l’iPhone que du Galaxy ou même de tout Android de merde.
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