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Jean-Luc Delarue présente son cancer à la presse
L'animateur de France 2 a organisé une conférence de presse pour annoncer sa maladie et couper court aux rumeurs.
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Niveau storytelling c'est quand même un cran au dessus que le Barbara Cartland sorti par Strauss-Kahn.
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Voilà ce que c'est quand on sniffe trop ! ! !
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Avec ce qui lui arrive là, il peut faire une émission où il jouera à la fois le rôle de l'animateur mais aussi celui de la victime sur le plateau...
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Personnellement, je n'arrive pas à avoir de compassion pour Jean-Luc Delarue : Il a tellement pris les gens pour des cons, en avoir traité bien d'autres comme des moins que rien en les ridiculisant dans ses productions et émissions télévisées avec une arrogance extrème que je ne cherche même pas à avoir de la pitié pour lui.
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Pas de pitié pour JL Delarue ? Un patient n'a pas besoin de pitié mais uniquement de réelle compassion et de solidarité. Si je n'ai pas beaucoup apprécié ses émissions ni pu approuver certains de ses comportements, je trouve son attitude actuelle plutôt courageuse et, de toutes façons, digne de respect. Avec tous mes souhaits de bon courage et de ... patience.
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... rooooh les mecs, vous êtes durs !
aka ParisForce sur Raging Thunder II /iPhone, internet multiplayer. :-D
minicheck.tumblr.com
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Le genre de truc que je ne souhaite à personne. Certes, il est arrogant et il a fait fortune en manipulant des esprits faibles, mais c'est quand même une belle saloperie ce cancer.
Il va en baver et s'il s'en sort, il sera en sursis. Pour avoir vécu ça dans ma famille, je ne parviens pas à me réjouir de ce genre de tuile.
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Que ces "Vampires de Paparazzi" arrêtent un peu de se faire de l'argent avec le malheur des autres...
J'espère que J.L Delarue qui sait écouter les autres, nous surprendra en se battant, comme il a toujours su le faire.
Bonne Chance à Lui.
Amitiés
Pascal.S
Dernière modification par PASCAL005 (02-12-2011 23:55:23)
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Certaines personnes, comme Raoul.., Cecile.., Vous êtes odieux, et votre article est " facile " et surtout que vous n'ayez jamais de que J.L Delarue est en train d'essayer de vaincre........Vous êtes pires que les paparazzi.....cela montre vôtre grande intelligence........................et vôtre valeur morale " au ras des paquerettes.....et vôtre sens de manque de savoir vivre.
Dernière modification par PASCAL005 (03-12-2011 00:04:41)
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Formulation du titre choquante. La méchanceté de certains commentaires donnerait envie de souhaiter à leurs auteurs le même mal qui frappe Delarue, mais je me retiens...
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Être malade.
Accepter sa maladie.
Le confier à ses proches si on le souhaite.
Ne pas faire de conférence de presse.
Rester humble.
Plus tard, Madame Michu ne dira pas « Le cancer touche tout le monde, vous avez vu avec Jean-Luc Delarue ? Rho la la. »
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c'était combien de pages pour 2B3 déjà ? on a un record à battre.
C'est con qu'il l'ait pas su plus tot, Blier aurait pu l'engager pour le bruit des glaçons, imaginez un JLD sortant du poste telle une vision d'horreur type Sadako et déclarant au spectateur "bonjour, je suis votre cancer". Ca ferait sens.
Dernière modification par gégé (03-12-2011 01:49:22)
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je ne parviens pas à me réjouir de ce genre de tuile.
+1.
L'inverse est louche.
Ne vous privez pas de ces ressources intellectuelles au prétexte qu'elles sont intellectuelles, qu'elles sont écrites avec de grands mots.
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On peut aussi ne pas se réjouir sans non plus pleurer toutes les larmes de son corps ? Où on est un forcément un gros con dans ce cas là ?
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J'espère qu'il n'oubliera pas de nous rembourser tout (ou au moins une partie de) notre pognon qu'il a cramé dans la coco avant de partir définitivement. Ciao l'artiste!
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Que ces "Vampires de Paparazzi" arrêtent un peu de se faire de l'argent avec le malheur des autres...
Je ne sais pas m'empêcher de rebondir sur ta phrase...
Delarue a passé sa vie à ca et s'est enrichi sur ce même principe...
C'est moins marrant quand on se retrouve de l'autre coté de la barrière...
Et le principe d'en faire une conférence de presse représente bien le personnage.
Enfin, bon courage à lui..
Dernière modification par soyphrenn (04-12-2011 11:12:51)
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une conf presse mène-t-elle au pilori ?
Ne vous privez pas de ces ressources intellectuelles au prétexte qu'elles sont intellectuelles, qu'elles sont écrites avec de grands mots.
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Je n'ai bien entendu rien contre Monsieur Jean Luc Delarue, je lui souhaite un prompt rétablissement, ( enfin, de vaincre ce cancer ). Néanmoins, je trouve assez désagréable l'armée des faux culs journalistes ( certains hein pas tous ! ) qui d'un coup nous feraient presque passé JL delarue pour un héros.
On retrouve trop souvent ça, quand quelqu'un est malade, ou pire mort, c'est un héros. Souvenez vous, l'effet Amy Winehouse.
Tutoriel ainsi qu'un Moteur de recherche de fond d'écran
.:. What We do in life echoes in Eternity .:.
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J'espère qu'il n'oubliera pas de nous rembourser tout (ou au moins une partie de) notre pognon qu'il a cramé dans la coco avant de partir définitivement. Ciao l'artiste!
(Sans parler du fric de l'affaire des animateurs-producteurs, mais on dira que "c'est du passé"...)
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On peut aussi ne pas se réjouir sans non plus pleurer toutes les larmes de son corps ? Où on est un forcément un gros con dans ce cas là ?
Visiblement, on est un "méchant". Je pense que c'est le même miracle qui fait qu'on n'a pas le droit de dire du mal de quelqu'un qui vient de mourir, "par respect". C'est juste de la superstition : on se sent faible et démuni face à la maladie ou à la mort, et on extériorise son angoisse en accordant une sorte d'immunité à la victime. D'ailleurs, les gens qui protestent assortissent souvent leur commentaire d'un "je vous souhaite de souffrir comme lui pour comprendre", voire de "je n'ose pas vous souhaiter la même chose que lui" (sous-entendu, je vous le souhaiterais bien, mais comme je suis plus gentil que vous, je ne le fais pas). Comme si le cancer pouvait s'attrapper par commentaires interposés, genre vodoo?
Autant les trucs gnan-gnan ("chapeau l'artiste", "bon courage", "j'ai connu ça aussi et je compatis") gâchent juste de la bande passante et gênent la lecture des commentaires par leur débilité dégoulinante, autant les réponses agressives "j'ai peur de la maladie et avec vos commentaires méchants vous heurtez ma sensiblerie superstitieuse on va tous attrapper le cancer par votre faute et ça sera bien fait pour vous" me choquent: ces gens se sentent le droit de venir vous expliquer que leurs peurs irrationelles doivent conditionner ce que vous avez le droit d'écrire -- il y a quelques siècles, ils auraient pu demander le bûcher, comme quoi les choses évoluent.
Moi ça m'afflige: je n'aimais pas beaucoup JL Delarue avant, je ne me réjouis pas qu'il soit malade, je me réjouis à peine de sa disparition de ma télé -- il sera bien vite remplacé par un cynique compatissant de la même trempe. Mais je n'accorde le droit à personne de venir m'imposer ses ridiculités superstitieuses -- surtout que j'imagine que la plupart du temps, les superstitieux n'ont jamais réfléchi à la raison pour laquelle "ça ne se fait pas". Tout le monde leur a dit, donc ils répètent. Alors expliquez-nous : en quoi ça pose un problème de rigoler avec les malades et les morts?
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Alors expliquez-nous : en quoi ça pose un problème de rigoler avec les malades et les morts?
Le problème n'est pas de rigoler avec, mais de rigoler de. Et c'est pas pareil.
Ne vous privez pas de ces ressources intellectuelles au prétexte qu'elles sont intellectuelles, qu'elles sont écrites avec de grands mots.
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Où Jean-Luc Delarue a un cancer de l'estomac et nous la nausée
Par Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts.
Voilà, Jean-Luc Delarue a un cancer. Il paraît que ça se savait, nous, on ne savait pas. Quand on a su, vendredi, qu'il organisait l'après-midi même une conférence de presse "pour parler précisément de son état de santé", on s'est taté: on y va, ou pas? Et puis bon, on y est allé, parce qu'on a rarement l'occasion de le voir en chair et en os, Delarue.
Ca se passe à France Télévisions, au 7ème étage. On poireaute devant la Salle du Conseil où va se tenir le machin. On est 25 journalistes à la louche. On se sent un peu sale d'être là. A 16h40, Rémy Pflimlin, le président de France Télévisions, descend du 8ème étage et entre dans la salle où va se tenir le raout. Tiens, qu'est-ce qu'il fait là, lui? A 16h45, on entre ; à 16h55, on sort, c'est fini. Depuis, on a la nausée.
Entretemps, Delarue a annoncé la nouvelle, parce que, justifie-t-il, un paparazzi cherche à vendre son dossier médical à un canard people (visiblement, c'est fait et ça pourrait bien être Closer ). On a raconté ici les litres d'eau qu'on lui a retirés du ventre, sa douleur, l'indice de sa douleur. Mais ça va, hein, pour lui. La preuve, son "indice de bonheur est entre 9 et 10". Et puis, "la perspective de vie qui m'attend me rend heureux". Et encore, "je veux profiter de chaque parcelle de vie". Et aussi "ma femme [elle était là, nda] me soutient, c'est une osmose". De toute façon, "c'est un combat, il y en a un de nous deux qui doit mourir". Très vite, la conférence de presse (on l'écrit au long parce qu'on n'en revient toujours pas: le mec fait une conférence de presse pour annoncer son cancer) se termine: "Je dois m'asseoir, j'ai un petit coup de fatigue." La faute à la chimio, dit-il. Et aussi à une chute la veille, a-t-il expliqué au début, parce qu'il est rentré chez lui où, précise-t-il, il n'avait plus de déambulateur comme à l'hôpital. D'où, montre-t-il du doigt, cette marque sur son visage. Il a toujours son teint de soleil rehaussé par les projecteurs mais ça ne va pas bien, il marche mal, s'appuie sur un tabouret.
Une question, peut-être, demande-t-il aux journalistes, saisis, pétrifiés, on allait dire estomaqués. Dans l'assistance, il y a plusieurs femmes en pleurs. Une journaliste tente une question, elle hésite, visiblement, elle veut lui demander s'il va s'en sortir et quelle est l'échéance. "Le protocole, vous voulez dire?" C'est son boulot, à Delarue, de reformuler. Et puis c'est fini. Chacun se précipite dans sa rédaction pour annoncer la nouvelle à ses lecteurs, téléspectateurs, auditeurs. Les internautes savent déjà, beaucoup des collègues ont tweeté la conf.
C'est difficile, un cancer, c'est personnel. Y en a qui ne disent rien, y en a qui, journaliste comme notre vieille copine Marido Arrighi, se mettent à enquêter sur leur cancer. Jean-Luc Delarue, lui, le met en scène, il en fait une actualité, une information et, bien sûr, un spectacle. C'est l'aboutissement de sa carrière. Juste, on aurait aimé ne pas être là.
Au moment où on est partis, Jean-Luc Delarue nous a alpagués. Nous a serré la main et nous a dit ceci: "Malgré tout ce que vous écrivez sur moi, je ne vous en veux pas. Je trouve vos papiers rigolos et bien sentis." On l'a regardé et on n'a rien trouvé d'autre à lui dire que "bon courage".
Plus que 155 jours avant la fin du mandat de Nicolas Sarkozy.
PS: nous avons décidé de fermer cette note aux commentaires, beaucoup trop d'internautes peu attentifs y voyant une façon de se moquer de Jean-Luc Delarue et de son cancer plutôt qu'une critique de la mise en scène qu'il en a fait. RG et IR
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PS: nous avons décidé de fermer cette note aux commentaires, beaucoup trop d'internautes peu attentifs y voyant une façon de se moquer de Jean-Luc Delarue et de son cancer plutôt qu'une critique de la mise en scène qu'il en a fait. RG et IR
??!!
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C'est sur leur blog, Instants Télés
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